Un film récent du très médiatique Wong Kar Wai présenté à Cannes en 2007!
Réalisateur : Wong Kar Wai : Né en 1958 à Shanghai (Chine). Commence sa carrière en 1988. Personnage un peu introverti…. On s’en douterait presque, porte toujours des lunettes noires… Il reçoit de nombreuses récompenses : Happy Together (Prix de la meilleur mise en scène au Festival de Cannes). In the Mood for Love (Prix d'interprétation pour Tony Leung au Festival de Cannes) Il préside le jury du festival de Cannes 2006.
Pays : Hong Kong Année : 2007
Acteurs : Norah JONES – Elizabeth, Jude LAW – Jeremy, David STRATHAIRN – Arnie, Rachel WEISZ - Sue Lynne
Directeur Photo :Darius Khondji
Résumé : « Après une séparation douloureuse, Elizabeth se lance dans un périple à travers l’Amérique, laissant derrière elle une vie de souvenirs, un rêve et un nouvel ami - un émouvant patron de bar - tout en cherchant de quoi panser son coeur brisé. Occupant sur sa route des emplois de serveuse, Elizabeth se lie d’amitié avec des clients dont les désirs sont plus grands que les siens : un policier tourmenté et sa femme qui l’a quitté, une joueuse dans la déveine qui a une affaire à régler. A travers ces destins individuels, Elizabeth assiste au spectacle du véritable abîme de la solitude et du vide, et commence à comprendre que son propre voyage est le commencement d’une plus profonde exploration d’elle-même. » Officiel. En fait, il traite des déboires amoureux des uns et des autres, du non-dit en amour ou amitié, on peut s’y reconnaître dans nos hésitations ou flash-backs. Comme à son habitude il filme les acteurs de près et d’un point qui pourrait être dans la pièce derrière une épaule, une chaise etc… donnant un aspect intime ou « voyeur ». A sa mode aussi le découpage daté et « indexé » des épisodes, soulignant le temps, l’éloignement avec en plus l’accélération de celui-ci grâce aux images de métros traversant l’écran. Toujours du grand art. La version en salle est plus courte que celle présentée à Cannes, où elle n’avait pas conquis le public.
Filmographie : 1988 : As Tears Go By; 1991 : Nos Années sauvages (Days Of Being Wild); 1994 : Les Cendres du temps (Ashes Of Time) ; 1994 : Chungking Express; 1995 : Les Anges déchus (Fallen Angels); 1997 : Happy Together; 2000 : In The Mood For Love; 2004 : 2046; 2004 : Eros (Segment : The Hand)
Mon avis : On sort un peu désorienté de ce film assez court mais enlevé, car on a l’impression d’insaisissable. Puis on se rend compte que le sujet est tellement banal qu’on ne s’aperçoit pas qu’il traite un peu les tribulations de chacun. Les images sont belles, les couleurs renouvelées pour cet essai américain (Christopher Doyle n’est pas dans le générique). Un peu moralisateur… sans doute pour faire USA ! et une musique suiveuse avec des retours de In the Mood for Love.
Note :8/10 Rédigé par : Jacquie
Réalisateur : Wong Kar Wai : Né en 1958 à Shanghai (Chine). Commence sa carrière en 1988. Personnage un peu introverti…. On s’en douterait presque, porte toujours des lunettes noires… Il reçoit de nombreuses récompenses : Happy Together (Prix de la meilleur mise en scène au Festival de Cannes). In the Mood for Love (Prix d'interprétation pour Tony Leung au Festival de Cannes) Il préside le jury du festival de Cannes 2006.
Pays : Hong Kong Année : 2007
Acteurs : Norah JONES – Elizabeth, Jude LAW – Jeremy, David STRATHAIRN – Arnie, Rachel WEISZ - Sue Lynne
Directeur Photo :Darius Khondji
Résumé : « Après une séparation douloureuse, Elizabeth se lance dans un périple à travers l’Amérique, laissant derrière elle une vie de souvenirs, un rêve et un nouvel ami - un émouvant patron de bar - tout en cherchant de quoi panser son coeur brisé. Occupant sur sa route des emplois de serveuse, Elizabeth se lie d’amitié avec des clients dont les désirs sont plus grands que les siens : un policier tourmenté et sa femme qui l’a quitté, une joueuse dans la déveine qui a une affaire à régler. A travers ces destins individuels, Elizabeth assiste au spectacle du véritable abîme de la solitude et du vide, et commence à comprendre que son propre voyage est le commencement d’une plus profonde exploration d’elle-même. » Officiel. En fait, il traite des déboires amoureux des uns et des autres, du non-dit en amour ou amitié, on peut s’y reconnaître dans nos hésitations ou flash-backs. Comme à son habitude il filme les acteurs de près et d’un point qui pourrait être dans la pièce derrière une épaule, une chaise etc… donnant un aspect intime ou « voyeur ». A sa mode aussi le découpage daté et « indexé » des épisodes, soulignant le temps, l’éloignement avec en plus l’accélération de celui-ci grâce aux images de métros traversant l’écran. Toujours du grand art. La version en salle est plus courte que celle présentée à Cannes, où elle n’avait pas conquis le public.
Filmographie : 1988 : As Tears Go By; 1991 : Nos Années sauvages (Days Of Being Wild); 1994 : Les Cendres du temps (Ashes Of Time) ; 1994 : Chungking Express; 1995 : Les Anges déchus (Fallen Angels); 1997 : Happy Together; 2000 : In The Mood For Love; 2004 : 2046; 2004 : Eros (Segment : The Hand)
Mon avis : On sort un peu désorienté de ce film assez court mais enlevé, car on a l’impression d’insaisissable. Puis on se rend compte que le sujet est tellement banal qu’on ne s’aperçoit pas qu’il traite un peu les tribulations de chacun. Les images sont belles, les couleurs renouvelées pour cet essai américain (Christopher Doyle n’est pas dans le générique). Un peu moralisateur… sans doute pour faire USA ! et une musique suiveuse avec des retours de In the Mood for Love.
Note :8/10 Rédigé par : Jacquie
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