vendredi 26 août 2011

Tu seras mon fils

Lorant Deutch joue le fils du producteur
Réalisateur : Gilles Legrand producteur et réalisateur et scénariste français né en 1958. C’est ici son troisième long métrage et il montre une assez bonne maitrise.
Pays :France Année : 2011
Acteurs : Niels Arestrup (Paul de Meurseul), Lorànt Deutsch (Martin de Meuseul), Patrick Chesnais (le régisseur), Anne Marivin (la femme de Martin), Nicolas Bridet (Philippe), Valérie Mairesse (la femme du régisseur) Dir. Photo : Yves Angelo
Résumé : Il était une fois un méchant producteur vinicole du Bordelais… Niels Arestrup interprète magistralement un personnage égoïste et imbu de lui-même, qui se vautre dans le luxe avec délectation, entretenant avec amour une collection de chaussures. Il a réussi ; ses vins sont prisés, mais sans son régisseur interprété par Patrick Chesnais il n’est pas grand-chose, celui-ci a l’expérience de la vigne. Paul qui est veuf a un fils Martin qui vit avec sa jeune femme sur la propriété mais hélas pour lui ne lui ressemble pas ; trop normal un peu timoré pas une grande carrure. Paul, monolithique, n’aime donc pas son fils et le lui fait sentir, ne manquant pas l’occasion de l’écraser dans des rôles subalternes. Le régisseur est malade en phase terminale ce qui rapproche son fils du domaine…
Le film est bien mené autour du personnage du producteur viticole et Niels Arestrup en fait l’épine dorsale, Lorant Deutch lui donne la réplique en fils gringalet insipide, victime toute trouvée à la puissance du père. C’est un tout petit peu trop. Les dialogues très durs et en guerres continuelles ont quelques fois du mal à passer car continuellement chargés de haine. Par contre il y a des trouvailles humoristiques. Au cours de l’intrigue ont fait connaissance avec le vignoble et les procédés de vinification autant ça met de l’air dans les conversations stéréotypées du père et du fils autant ça sent le documentaire… des longueurs donc. Le vignoble et surtout les locaux industriels de la production donnent lieu à des scènes éclatantes d’inox ou de jus aux couleurs chatoyantes donc de la jouissance visuelle. La photographie est aussi très bien traitée dans les ombres et lumières des caves ou dans les lumières du bordelais en fin d’été.
Filmographie : Malabar Princess ; La Jeune fille et les loups ; Tu seras mon fils.
Avis : Le sujet est fort, traité par de bons acteurs et malgré quelques longueurs le film est captivant. Il est de plus esthétique dans ses prises de vues, donc à voir.
Note : 8/10 Rédigé par Jacquie





jeudi 25 août 2011

Tigre et Dragon

Michelle Yeoh et Chow Yun Fat ne sont pas que des combattants!
Oscar du meilleur film étranger et le Golden Globe du meilleur réalisateur. 
Réalisateur : Ang Lee : né en 1954, à Taïwan qu’il quitte après des études de théâtre pour les US où il se forme au cinéma. Garçon d’Honneur son second film remporte l’Ours d’Or à Berlin en 93 il a été reconnu de nombreuses fois par des prix à Berlin, Venise dont le Lion d’Or pour le célèbre Secret de Brokeback  Mountain etc. Biographie plus.
Pays : Hong Kong, Chine et US Année : Octobre 2000
Acteurs : Chow Yun Fat (Li Mu Bai), Michelle Yeoh (Yu Shu Lien), Zhang Ziyi (Jen), Chang Chen (Lo / Nuage noir) et Chen Pei Pei (Jade la hyène)
Résumé : En Chine au XIX siècle, le film est tourné dans l’esprit des « wu xia », film de sabre ou de cape et d’épée à la façon asiatique. Le genre est très développé en Asie où il fait partie de la culture chinoise, les légendes sont la base de ces films où aucun asiatique ne s’étonnera de voir des combattants voler dans les airs. Pour les occidentaux c’est plus difficile à accepter, ce fut une réelle difficulté pour Ang Lee qui habitant les US a choisit de faire appel au maitre des « ballets « de Matrix. Le scénario est tiré d’une série romanesque de Wang Du Lu qui a connut un grand succès : Tigre et dragon paru vers les années 1940. Cette saga est disponible en français en plusieurs tomes (J’ai lu) et en Manga, également en plusieurs tomes (Tonkam).
Li Mu Bai, combattant chevronné en arts martiaux, n’arrive pas à trouver le repos malgré ses efforts dans la voie interne et ses longues méditations. Il décide de donner son épée « Destinée », sa fameuse épée forgée il y a 4 siècles, ou plutôt de la remette à qui de droit au seigneur Té. Il va charger Yu Shu Lien, une amie d’enfance de Li Mu Bai (les deux amis sont liés par des entrainements dans la même école et de tendres sentiments), d’apporter l’épée légendaire à Té qui habite Pékin. Dans la résidence de Té, celle-ci rencontre une jeune fille Jen, promise à se marier. Cette dernière est éblouie par Yu Shu Lien, qui incarne une héroïne de roman d’aventure comme elle aurait souhaité être au lieu de se marier.
Le soir même « Destinée » est volée dans le bureau de Té… Li Mu Bai et Yu Shu Lien doivent donc retrouver et rapporter cette épée légendaire afin de ne pas la laisser dans des mains qui ne la méritent pas. Les péripéties de cette aventure est le corps du film, avec des combats et des épisodes sentimentaux, la lutte du bien et du mal, la voie interne des arts martiaux est évoquée des aperçus philosophiques.
Filmographie :
Le secret de Brokeback Moutain (2004) ; Hulk (2002); Tigre et Dragon (2000); Chevauchée avec le diable (1999) ; The Ice storm (1997) ; Raison et Sentiments (1995); Salé sucré (1994) ; Garçon d’honneur (1993) ; Tui shou (1992) 
Mon avis : Bonne détente à regarder ce film d’action historique. Mis à part les cavalcades dans les airs parfois un peu « trop », le film est bien enlevé, Li Mu est très digne et la jeune fille, assez peste, est craquante (c’est Zhang Ziyi …) Ils sont quand même un peu nase ces adultes qui n’avouent leur amour que quand c’est trop tard … le duo des jeunes n’attend pas des années …. Ang Lee a su faire passer ce genre dans notre culture c’est un succès ! C’est pour moi le meilleur des films de ce genre…. A voir.
Note : 8/10 Rédigé par : Claire

dimanche 21 août 2011

La Porte de l'Enfer

 Réalisateur : Teinosuke Kinugasa Né le 1 Janvier 1896 à Mie Ken, Japon Décédé le 26 Février 1982 . Il est l'un des principaux artisans de la découverte par le public occidental du cinéma japonais. Cependant ses films sont peu connus en Europe.
Pays : Japon Année : 1953
Acteurs : Kazuo Hasegawa (Morito), Machiko Kyo (la fausse princesse), Isao Yamagata, Yataro Kurokawa.
Résumé : Au Japon au XII siècle pendant une guerre civile, Kesa une des suivantes de la reine se dévoue pour faire diversion et faciliter la fuite de la reine. Morito un garde valeureux attribué à la défense de la pseudo reine, nous montre sa hardiesse au combat, puis tombe follement amoureux (à en perdre la tête) de Kesa qu’il retrouvera par hasard à la porte de l’enfer à une sortie de la ville. Ensuite il ne vit que pour l’épouser envers et contre tous … mais elle est déjà mariée et ni elle ni son mari Wataru ni le seigneur ne savent comment se tirer de cette affaire qui finira en tragédie cornélienne.
Machiko Kyo a joué avec de grands metteurs en scène nippons tels que Kurosawa dans Rashomon et Mizoguchi dans le contes de la lune vague après la pluie.
Ce film a remporté le grand prix à Cannes en 1954 -Palme d’or de l’époque-, le plus artistique à Locarno et l’Oscar du meilleur film étranger aux US. L’attribution du grand prix par le président du jury, Jean Cocteau, a été fraîchement reçue par la critique http://www.cannes-fest.com/1954.htm. Esthétiquement c’est superbe.
http://shangols.canalblog.com/archives/kinugasa_teinosuke/index.html
Filmographie : une centaine de films mais peu sont connus. Le carrefour ou ombres à Yoshiwara 1928 ; Une page folle 1926 ; Le héron blanc
Mon avis : Ce que je peux en dire c’est que c’est très beau, l’intrigue et la conduite sont un peu surannées, mais c’est un bijou, et à voir: film culte.
Pour les fans de l’épée il y a des combats ! Les acteurs sont d’excellent niveau, et le personnage du mari pose un aspect philosophe et zen dans ce tourbillon de volontés tendues.
Note : 7/10 Rédigé par Jacquie

vendredi 19 août 2011

Après la pluie

Réalisateur :Takashi Koizumi
Scénaristes: Akira Kurosawa (et Shugoro Yamamoto)
Pays : Japon Année : 1999
Acteurs Akira Terao, Yoshiko Miyazaki, Shiro Mifune, Mieko Harada, Fumi Dan, Hisashi Igawa, Hidetaka Yoshioka, Tatsuya Nakadai
Résumé : Film écrit par Akira Kurosawa d'après l'histoire de Yamamoto Shugoro et mis en scène par Koizumi Takashi. Réalisé en 1998, par Koizumi qui rend hommage dignement au Maître Kurosawa, disparu au cours du projet, et nous propose un voyage magnifique et un retour historique dans le Japon féodal.
Il est écrit qu’Akira Kurosawa descendant d'une véritable famille de Samouraïs, a souhaité rendre hommage à ces hommes exceptionnels en les décrivant non seulement comme des guerriers aguerris, mais aussi comme des hommes instruits, ayant un savoir-vivre et une certaine sagesse.
Ihei, le héro, est l'incarnation du Samouraï, familier de l'art du sabre, du Zen et du Bouddhisme.Forcés par les intempéries de se réfugier dans une auberge isolée le long du fleuve, Ihei et sa femme Tayo attendent avec de nombreux autres voyageurs, que la pluie cesse pour traverser le fleuve avec le bac. Ihei sort s’exercer et prendre l’air pour échapper à la pesante atmosphère que la promiscuité fait régner dans l’auberge … Tayo reste à l’auberge et tente d’atténuer les querelles. Son personnage bien que secondaire est comme un miroir, elle ne parle pas beaucoup à son mari mais on les devine très unis par des valeurs communes… la fin du film nous montrera jusqu’où.
Une interprétation du film à travers la philosophie Bouddhiste, en tout cas un apperçu de ce qui est entendu par la voie du sabre pour le véritable samouraï, nous est donnée sur wikipedia .
Filmographie de Kurosawa: Derzou Ousala, Rêves, Vivre, les 7 samouraïs, Les bas fonds, Entre le ciel et l’enfer … 
Mon avis : Très beau film, montre la vie au Japon, à l’époque des samouraïs. Des paysages très luxuriants. Il y a des combats ! Les nombreux non-dits nous donnent fort à faire mais la voix off nous aide un peu et le reste de la compréhension réside dans l’analyse de la finesse des expressions. Et s’il le faut on le regarde 2 fois … avec plaisir.
Note : 7/10 Rédigé par Jacquie










Rédigé par Jacquie.

dimanche 14 août 2011

L'année dernière à Marienbad

Jardin ou échiquier?
Lion d'or à Venise en 1961 
Réalisateur : Alain Resnais : Né en 1922 il s’intéresse tôt au cinéma mais touche à différents métiers avant de s’inscrire à l’école du cinéma. Il réalise de nombreux documentaires et devient connu grâce à Nuit et brouillard, pour lequel il obtient le Prix Jean Vigo en 1956. Puis lors de son premier long métrage, en 1959, avec Marguerite Duras : Hiroshima mon amour il est unanimement apprécié par ses pairs et le public. Sa façon de filmer très originale lui est restée jusque dans son dernier film Herbes folles !voir fiche sur mon blog
Pays : France Année : 1961
Acteurs : Delphine Seyrig (la femme) ; Giorgio Albertazzi (l'homme) ; Sacha Pitoëff (le mari) Dir. Photo : Sacha Vierny
Résumé : D’après le scénario d’Alain Robbe Grillet, auteur de romans d’une nouvelle « façon » illustrée ici. Il deviendra aussi cinéaste. c'est le pape du "nouveau roman" il est célèbre traduit à l'étranger mais peu lu voir le site de Fluctuat.
Dans le grand hôtel d’une ville d’eau à Marienbad, des scènes étranges ont pour décors d’immenses couloirs impersonnels et vides, des jardins déserts aux perspectives strictes dont toute nonchalance est exclue. Comme les histoires dans l’histoire avec des représentations théâtrales guindées, tout est réglé sans paraître découler de la vie normale des curistes qui ressemblent à des pions d’échiquier. Atmosphère très étrange voir envoûtante pour le spectateur. Le sujet du drame s’il y en a un est difficile à saisir. Un couple qui n’a ni nom ni prénom est composé d’une belle et très élégante jeune femme interprétée par Delphine Seyrig, que courtise infatigablement un italien. A eux deux ils font les ¾ du film, le dernier quart étant joué par Sacha Pitoëff qui incarne sans doute le mari de la belle, la raison, le conventionnel, la vie matérielle. Ce film a subjugué ma génération c’est un fait, le revoir n’explique rien mais laisse saisir d’autres possibilités, d’autres hypothèses. Ce film est hors du temps ce qui se vérifie effectivement, il reste d’une beauté plastique étonnante et nous fait voyager dans l’irrationnel des rêves, des fantasmes. Les toilettes de D. Seyrig sont fabuleuses et elle joue de son corps à merveille. Tout est énigme on est constamment à la lisière du rêve et de la réalité proposée, très vite on est séduit par l’image et l’ambiance et on abandonne la raison triviale pour se laisser porter par la symbolique proposée. Bien sur c’est Resnais, et il s’agit de l’éternel couple d’amants de son positionnement par rapport à la raison, de l’usure du temps sur cette liaison. Alain Resnais a voulu faire un film « différent » sans le support d’un scénario classique, sans doute savait-il ce qu’il faisait lors du tournage en dirigeant ses plans et ses personnages mais les acteurs n’en avaient guère l’idée à les entendre raconter le tournage. Resnais est un magicien du cinéma qui ne s’est jamais endormi dans les sentiers des conventions ou de la mode.Voir aussi le site du cinéclub Caen qui est comme toujours intéressant
Filmographie : Nuit et brouillard ; Hiroshima mon amour ; L'Année dernière à Marienbad ; Muriel ; L'Amour à mort ; Mélo ; Smoking / No Smoking ; On connaît la chanson ; Herbes folles 
Avis : Chef d’oeuvre qui a marqué toute une génération et qui est toujours un sujet de réflexions et d’interrogations sur le couple, la relation amoureuse, les fantasmes. C’est un des joyaux de l’histoire du cinéma, mais attention très cérébral… Y jouent deux acteurs géants : Delphine Seyrig et Sacha Pitoëff ; je ne connais pas assez les acteurs italiens pour en dire de même sur Albertazzi mais c’est aussi vraisemblable.
Note : 9/10 Rédigé par Jacquie

vendredi 12 août 2011

Un Américain bien tranquille

The quiet american

Réalisateur :  Joseph L. Mankiewicz (1909-1993) Journaliste puis cinéaste. Une grande production. Chaînes conjugales (1949) et Eve (1950), pour lesquels il remporte quatre Oscars comme scénariste et réalisateur, le consacrent. Réalisateur engagé subit les tracasseries du Maccartisme.
Pays : US Année : 1958
Acteurs : Michael Redgrave ; Audie Murphy ; Claude Dauphin
Résumé : D’après le roman de Graham Green. L’histoire se passe à Saïgon pendant la guerre d’Indochine. Un inspecteur français enquête sur la mort de Pyle, un jeune américain venu pour une mission humanitaire. Celui-ci aimait Phuong, une jeune vietnamienne, elle-même vivant avec le journaliste anglais Fowler. Une histoire d'amour où guerre et intrigues politiques s'emmêlent.
Un autre film portant le même nom a été réalisé par un australien (Phillip Noyce) d’après le même roman. Le noir et blanc sert très bien cette intrigue et donne de la profondeur aux premières scènes en nous lançant immédiatement dans le policier politique.
Filmographie : Le Limier ; Le reptile; Guépier pour trois abeilles ; Cléopatre ; Soudain l’été dernier ; Guys and dolls ; Jules César
Mon avis : Un vieux film, la guerre d’Indochine vue par les américains. Une Asie de pacotille …. Mais une ambiance de guerre d’indépendance, et une intrigue policière sympa.
Voir les commentaires de Virgile Dumez (www.avoir-alire.com)
Note : 7/10 Rédigé par : Jacquie

lundi 8 août 2011

Les 55 jours de Pékin

Affiche du film et du DVD
Réalisateur : Nicholas Ray 1911-1979 D’origine norvégienne par sa mère, allemande par son père. Découvre le théâtre et le jazz. Rencontre au sein du Theater of Action, à vocation sociale, avec Joseph Losey et Elia Kazan. Voyage et travaille pour la radio vers l'outre-mer, mais démissionne à cause de son lien au Parti Communiste. Travaille 10 ans au cinéma avec succès puis périclite.
Pays : USA Année : 1963
Acteurs : Charlton Heston, Ava Gardner, David Niven, Flora Robson,
Résumé : Historiquement : « Après un dernier accrochage avec les troupes impériales en octobre 1899, l'activité des boxers se concentre contre les missionnaires et leurs convertis, considérés comme des agents à la solde des « diables étrangers ». Début juin, près de 450 hommes de troupes occidentaux pénètrent dans la capitale chinoise pour protéger les délégations étrangères. La révolte atteint son paroxysme : des insurgés (désormais soutenus par des éléments de l'armée et dont le slogan est changé en « Soutenons les Qing, détruisons les étrangers ») attaquent les quartiers occidentaux des villes de Tianjin et Pékin. Le chancelier japonais Sugiyama est assassiné le 6 juin, le ministre allemand von Ketteler le 20. Plusieurs dizaines de milliers de Boxers tiennent la ville et assiègent le quartier des ambassades. Le conflit entre la cour impériale et les puissances étrangères est désormais ouvert. Un corps expéditionnaire de près de 20 000 hommes est monté pour aller secourir les délégations assiégées. Après la prise de Tianjin le 14 juillet, Pékin tombe le 14 août : c'est la fin de l'épisode dit des 55 jour » Wikipedia.org. 
Le film : Un relent de la vie diplomatique du début du siècle, et une Chine vue par les américains comme un pays fort lointain et arriéré…. Mais le scénario et l’histoire ont une fraîcheur vieillotte amusante, le Major est un américain de Far West (Charlton Heston) on s’attend à voir arriver les indiens, et Ava Gardner qui joue la baronne est superbe… Nicholas Ray quant à lui est le beau frère. La cour à la Cité Impériale est inexistante.
Filmographie : 1948 : Les amants de la nuit ;1949: A Woman's Secret; Les ruelles du malheur; 1950: Le violent; 1951: Les diables de Guadalcanal; 1952: Les indomptables; La Maison dans l'ombre; 1954: Johnny Guitar. 1955: A l'ombre des potences; La fureur de vivre.
Mon avis : Film ayant vieilli mais bon exemple de ce qui se faisait à l’époque, la caricature des délégations diplomatiques est marrante, Ava Gardner joue très bien ainsi que David Niven très digne et humain dans l’ambassadeur de GB.
Film plaisant mais décalé. Pour les amateurs de vieux films.
Note : 6/10 Rédigé par : Jacquie