samedi 22 novembre 2008

L'échange

Changeling

Sélection Officielle en Compétition au Festival de Cannes 2008.

Réalisateur : Clint Eastwood. Né le 31 mai 1930 à San Francisco . Acteur, Réalisateur, Producteur, Compositeur. Deux oscars pour meilleur film et deux oscars pour meilleur réalisateur. Récompensé pour l'ensemble de sa carrière à Cannes 2008. Détails sur : http://fr.wikipedia.org/wiki/Clint_Eastwood
Pays : USA Année : 2008
Acteurs : Jeffrey Donovan (captain Jones), Colm Feore (Chef de la police), Michael Kelly ( le détective), John Malkovich (le pasteur), Angelina Jolie (Chritine Collins) Dir. Photo : Tom Stern
Résumé : Christine Collins vit à Los Angeles avec son fils Walter. Elle part à son travail un jour où elle devait rester avec son fils et quand elle revient celui-ci a disparu. Elle alerte la Police qui a bien du mal à faire ses recherches. Cinq mois plus tard, la Police lui annonce que son fils est retrouvé et lui restitue en grande pompe. Le problème c’est qu’il lui ressemble un peu mais ce n’est visiblement pas son fils. Madame Collins essaye donc de convaincre la police qu’il y a erreur et qu’il faut continuer à rechercher son fils……
Ce film est tiré d’un fait divers de 1930 et sur la situation politique et sociale de cette époque ou l’administration corrompue faisait ce qu’elle voulait face à des citoyens vulnérables comme les femmes pour ne pas être dérangés par des problèmes…
Filmographie : Space Cowboys, Créance de sang (Blood Work), Mystic River, Million Dollar Baby, Mémoires de nos pères (Flags of Our Fathers), Lettres d'Iwo Jima (Letters from Iwo Jima)
Avis : Ce film est assez linéaire et développe assez lentement le fait divers puis passe à la description des excès de la police ou du peu de cas faits aux « petits » citoyens. Le film est celui d’un professionnel bien tourné avec de bons acteurs… mais n’a pas de souffle. Il montre et raconte en mettant un max de détails pour faire vivant, montre des rues entières avec de vieilles voitures…. mais tout est un peu factice et creux. Dommage.
Note : 6/10 Rédigé par Jacquie

mardi 18 novembre 2008

La femme est l'avenir de l'homme



Sélection Cannes 2004

Réalisateur : Hong Sangsoo : Connu en France grâce à son film Turning Gate et au soutien de Martin Karmitz via sa société MK2.
Pays : Corée Année : 2004
Acteurs : Yoo Jitae, Kim Taewoo, Sung Hyunah.
Résumé : Très peu de fil d’action hormis l’histoire de deux copains de fac : Hunjoo devenu cinéaste et Munho professeur de peinture et qui se retrouvent longtemps après et évoquent leur passé, ce qui les pousse à essayer de revoir une de leurs conquêtes. Cependant Hunjoo essaye de renouer avec son ex alors qu’il ne sait pas que son ami a lui-même consolé Sunwha quand il était parti aux US. On mange et on boit beaucoup dans ce film qui est très proche de la réalité quotidienne, ce qui peut paraître ennuyeux mais en tout cas très mélancolique sur les amours, les relations entre jeunes, et la difficulté des relations amoureuses. La vie ne se refait pas…. C’est sans doute la conclusion ? Explication sur le titre ? on sait bien qu’ « ils » ne pensent qu’à ça et l’avenir se matérialise à partir de nos projections….
Filmographie : 2004 - La Femme est l'avenir de l'homme 2002 - Turning Gate 2000 - La Vierge mise à nu par ses prétendants 1998 - Le Pouvoir de la province Kangwon 1996 - Le Jour où le cochon est tombé dans le puits
Mon avis : Film qui n’apporte pas grand-chose… mais pas désagréable au contraire. Très pessimiste sur … l’avenir de l’homme …. Mais la femme ni pourra rien tant qu’il bai…sera comme un lapin ! c’est ma conclusion…..
Note :7/10 Rédigé par : Jacquie

lundi 17 novembre 2008

Appaloosa



Réalisateur : Ed Harris, né aux US en 1950, il fait une carrière d’acteur réputée depuis 1983. Il démarre la réalisation en 2000 avec Pollock. Voir : http://fr.wikipedia.org/ wiki/Ed_Harris
Pays : USA Année : 2008
Acteurs : Viggo Mortensen (Everett Hitch); Ed Harris (Virgil Cole); Renée Zellweger (Allison French); Jeremy Irons (Randall Bragg) Dir. Photo : Dean Semler
Résumé : D'après le roman de Robert B. Parker. Au nouveau Mexique un homme et sa bande, Randall Bragg, font régner la terreur. Le shérif local et son adjoint se sont fait tuer en intervenant sur la propriété après un meurtre commis par cette équipe. Virgil et Everett qui travaillent depuis longtemps ensemble ont été pressentis pour mettre fin à cette anarchie grâce à leur réputation dans un cas similaire. Les deux hommes reçoivent leurs étoiles, et dictent leurs conditions aux élus locaux. Les échanges « d’amabilités » ne manquent pas de démarrer aussitôt avec différents calibres dont un fusil de chasse arme fétiche d’Everett. Puis une femme apparait semant l’émoi parmi la gente masculine ; c’est Allison, jeune veuve très émancipée, en mal de conjoint. Nos deux héros, renommés comme de fines gâchettes, sont très braves et n’ont peur de rien, ils se connaissent et se respectent. Le stratège c’est Virgil, Everett lui reconnait ce rôle prépondérant avec un touchant attachement, mais sans Everett qu’il consulte souvent Virgil n’est pas aussi efficace.
Filmographie : Pollock Appaloosa
Avis : Très bon western. Les acteurs vous les connaissez surement, ils composent de fins personnages en profondeur (un peu) qui nous charment tout au long de leur aventure. L’humour présent depuis le début de l’histoire passe très bien. De beaux plans. La pétillante Renée Zellweger, sortie de Bridget Jones, campe un personnage amusant dans un western.
Note : 8/10 Rédigé par Jacquie

dimanche 16 novembre 2008

7 ième Ciel



Nom d'origine : Wolke Neun

Coup de coeur du jury dans la sélection Un Certain Regard Cannes 2008


Réalisateur
: Andreas Dresen ; né en 1963 commence sa vie comme ingénieur du son, il devient réalisateur en 1980. Il obtient un Ours d’argent pour Grill Point en 2001, puis réalise Un été à Berlin.
Pays : Allemagne Année : 2008
Acteurs : Ursula Werner (Inge) Horst Westphal (Karl) Horst Rehberg (Werner).
Dir. Photo : Michael Hammon
Résumé : Inge et Werner, vieillissants, vivent un couple tranquille et tendre avec petits enfants etc. Inge fait des petits boulots de couture. « Sans l’avoir cherché » elle rencontre un homme plus âgé qu’elle et que son mari, et le coup de foudre est parti. A leur deuxième rencontre ils consomment leur amour très simplement et très crument comme si cela allait être enlevé... Le réalisateur nous propose une histoire d’adultère à un âge où on nous a habitué à la sagesse et au soit disant peut peu. D’une part Inge et son mari ne négligent pas la bagatelle, d’autre part elle se lance dans sa passion avec Karl. Inge se retrouve entre deux chaises : sa passion pour Karl qu’elle veut vivre et son amour pour son mari à qui elle n’a rien à reprocher…. Andreas décrit avec peu de dialogue leur entente et leur amour ainsi que les remords d’Inge qui ne peut continuer à vivre en cachant cette relation à Werner…. L’originalité du film est de montrer que les coups de foudre et l’amour sont toujours possibles chez les mamies et les papys et qu’on aurait bien tort de croire le contraire ! Que la beauté à cet âge ne se mesure pas de la même façon, et qu’un couple peut encore voler en éclats à cette occasion… Nos deux compères sont montrés ici comme des « ados » obsédés par leur libido qui ont besoin de réaliser leur sexualité entièrement, c’est sans doute une des manifestations amoureuses de cet âge, mais peut être pas la plus fréquente sinon ça se saurait…. De très beaux plans sur les visages, sur les corps et sur les rides en passant pas les tâches pigmentaires….Mais aussi de superbes scènes de campagne, les promenades à vélo avec un champ de coquelicots somptueux et un bain naturiste sous les frondaisons… les vieux sont romantiques on le savait et leur devise est surement « Carpe diem ».
Un site pour un interview d'Andreas Dresen http://www.commeaucinema.com/interview=rencontre-au-7eme-ciel,136724.html
Filmographie : Grill Point Un été à Berlin
Avis : Film cru et non pas érotique, qui montre sans complexe la fin d’une vie qui se croyait réglée à vie et l’éclatement d’une passion aussi soudaine que complète. Attention, l’amour à 76 ans ça dérange ! à voir pour croire que c’est possible….
Note : 7/10 Rédigé par Jacquie

mercredi 12 novembre 2008

Premières Neiges




Grand Prix de la critique Cannes 2008

Réalisateur : Aida Begic. Née en 1976 à Sarajevo. Assistante et scénariste, c’est son premier film.
Pays : Bosnie Année : 2008
Acteurs : Zana Marjanovic, Sadzida Setic, Jasna Ornela Bery, Vesna Masic, Emir Hadzihafizbegovic
Dir. Photo : Erol Zubcevic
Résumé : L’action se passe dans un village de l’Est de la Bosnie deux ans après la fin de la guerre. Les femmes se retrouvent seules après les massacres de leurs pères, maris, et enfants et essayent de s’organiser. Alma, la plus courageuse et optimiste se bat pour mener à bout le projet de son mari de monter une entreprise agroalimentaire en faisant avec ses collègues des confitures qu’elles vendent sur le bord de la route. Deux hommes, font irruption dans le village dans l’intention de récupérer les terrains de façon malhonnête, cette action mettra le feu aux poudres...
Aida Begic, nous montre ces femmes, désemparées par le malheur, avec des gros plans. Elles ont du mal à se remettre en selle en particulier parce qu’elles n’ont pas pu faire le deuil des disparus. C’est le sujet principal du film. A travers un groupe de femmes réagissant toutes différemment, on nous montre comment on peut être vulnérables quand une communauté est frappée par le malheur, et ceci arrive en Europe, au XX siècle ! La Dir Photo est bien réussie, les tons dans le bleu donnent une homogénéité de la vie quotidienne d’Alma qui fait ressortir les autres femmes dans le registre du rouge ou du jaune en particulier.
A voir : Un site intéressant sur le film et la Bosnie. http://www.dzana.net/208-premieres-neiges.html
Filmographie : Premier long métrage
Avis : Film difficile à comprendre mais bien mis en scène; la poésie des évocations est présente dans beaucoup de scènes et le film est agréable à voir même si la description de la petite communauté nous ramène à la violence de la guerre qui perdure dans ses conséquences.
Note : 7/10 Rédigé par Jacquie

dimanche 9 novembre 2008

The Visitor



Grand Prix du Festival Américain de Deauville 2008

Réalisateur: Thomas McCarthy, acteur, écrivain et réalisateur américain né en 1966. Il apparait dans plusieurs films et TV en tant qu'acteur avant de faire ses débuts comme réalisateur avec The Station Agent. Il se positionne comme réalisateur de films indépendant aux US ce qui correspond à notre cinéma d'auteurs ou Art et Essais.
Pays: USA Année : 2007
Acteurs: Richard Jenkins (Walter Vale), Hiam Abbass (Mouna Khalil), Haas Sleiman (Tarek Khalil) Danai Gurira (Zenaib) Dir Photo: Oliver Bokelberg
Résumé: Walter Vale, Professeur de sociologie à l'Université coule une existence tranquille pour ne pas dire ennuyeuse. Il se trouve contraint d'aller à New york pour son travail où il a un appartement. Lorsqu'il pénètre dans celui-ci il s'apperçoit qu'il est occupé par un jeune couple d'immigrés. Alors que tout les sépare une amitié se dessine entre ces personnages décalés. Walter ressent sa solitude qui se creuse depuis la mort de sa femme, et ce qu'il voit de la vie du jeune couple lui donne envie de revivre...L'attrait de la musique lui permettra d'avancer dans l'apprivoisement de ces relations improbables, qui vont se reveler profondes et uniques pour Walter. Suite à l'arrivée de la mère de Tarek, Walter étendra son amitié pour le couple à la mère vers un amour impossible.
Film sur les difficultés des immigrés aux US destiné à faire prendre conscience à un auditoire vaste de citoyens que l'autre est différent certes, mais aussi sujet d'amitié pour peu qu'un effort de compréhension fasse le lien de communication verbal ou artistique...
Lire la critique de Romain Le Vern dans http://www.dvdrama.com/news-29034-cine-the-visitor.php et voir le site : http://www.critikat.com/The-Visitor.html
Filmographie: The Station Agent.
Avis: Film intéressant, le réalisateur a évité les clichés et les discours; toute sa philosophie est exprimée par l'histoire et l'image que le spectateur comprend facilement. Les dialogues sont très simples et pourraient être compris intégralement avec un petit niveau d'anglais..... Le film est dominé par la prestation de Richard Jenkins que certains auront vu dans 6 Feet Under et Hiam Abbass joue également un rôle très fort.

Note: 8/10
Rédigé par Jacquie

jeudi 6 novembre 2008

Printemps, Eté, Automne, Hiver, et Printemps



Réalisateur : Kim Ki – Duk
« né le 1er janvier 1960 en Corée du Sud. Il passe son enfance dans un village perdu dans les montagnes. A 17ans, travaille comme ouvrier. Il s’engage dans la marine pendant cinq ans. Il passe alors deux ans dans un monastère pour devenir prêtre. Il se passionne alors pour la peinture et part étudier à Paris. Marqué par Le Silence des agneaux et Les Amants du Pont-Neuf il se lance dans le cinéma. » (wikipedia)
Pays : Corée du Sud Année : 2003
Acteurs : Oh Yeong-su, Seo Jae-kyeong, Kim Young-min, Kim Jong-ho, Ha Yeo-jin, Kim Ki-duk, Park Ji-a
Résumé : Dans un décor digne des plus beaux jardins, un petit temple flotte sur un lac isolé de tout. Là, solitude méditation et communion avec la nature entourent les premières année de la vie d’un jeune garçon élevé par un moine zen ; le printemps innocence. Puis arrive l’été de la croissance et la découverte de l’amour. Arriveront les saisons suivantes avec à chaque fois une peinture des difficultés de la vie et une façon de les résoudre.
« Mon intention est de montrer les joies, les colères, les tristesses et les plaisirs de nos vies à travers les saisons et au travers de la vie d’un moine qui vit dans un temple posé sur l’étang de Jusan situé en pleine nature. Cinq histoires du moine enfant, du moine garçon, du moine adulte, du moine vieillissant et du moine vieux coexistent avec des images de chaque saison. Les changements de qualité chez les êtres humains, les sens de la maturité dans nos vies qui se forment, comment elles se développent, la cruauté de l’innocence, l’obsession des désirs, la douleur des desseins meurtriers et l’émancipation dans les combats. » KKD
Filmographie : 2000 : L'Île 2001 : Adresse inconnue 2001 : Bad Guy 2002 : The Coast Guard 2003 : Printemps, été, automne, hiver... et printemps 2004 : Samaria 2004 : Locataires 2005 : L'Arc 2006 Time 2007 Breath (Wikipedia)
Mon avis : Très peu de dialogues, beaucoup de très belles images qui indiquent les situations et laissent le spectateur comprendre les symboles. Film tout en finesse mais parfois violent dans l’expression des sentiments.
Note : 9/10 Rédigé par : Jacquie

Ivre de femmes et de peinture



Cannes 2002 Prix de la Mise en scène.

Réalisateur : Im Kwon-Taek, né en 1936 en Corée, il est un des réalisateurs les plus féconds et connus du cinéma Coréen. Il a reçu la plupart des récompenses du cinéma coréen, est très connu en France depuis sa récompense à Cannes en 2002.
Pays : Corée du Sud Année : 2001
Acteurs : Choi Min-Sik, Ahn Sung-Ki et You Ho-Jeong Photographie : Jung Il-Sung
Résumé : « La vie agitée et l’œuvre tumultueuse du peintre Ohwon Jang Seung-up, durant le XIXe siècle, l’une des périodes les plus chaotiques de l’histoire de la Corée. Roturier mais doué d’un talent incontestable qui fera de lui l’un des peintres les plus illustres et les plus respectés de son pays, Ohwon Jang Seung-up possède une nature à la mesure de sa position paradoxale d’artiste issu du peuple mais fêté par les classes les plus hautes : il boit, se bat, jure et change de femmes comme de chevalet. Son œuvre témoigne néanmoins d’un raffinement incroyable et d’une remise en question perpétuelle. » ARTE
« Créer est une damnation ; le vrai créateur souffre. En créant, l’individu se dépasse, transcende son animalité ; il n’est plus bête, il n’est pas encore Dieu : il est Homme. L’Homme ? Un animal artiste…C’est l’histoire de cette damnation quotidienne qu’évoque avec génie le film de Im Kwom-taek, Ivre de femmes et de peinture. Un homme touché par le génie du dessin et de la peinture, qui cherche sa voie propre, sa singularité d’artiste. Un homme faible, écrasé par la rigueur de son propre génie, qui tombe dans l’animalité pour oublier ses défaillances de créateur : boire, fuir, aimer les femmes… » Mathieu SCRIVAT. (enkiea.free.fr)
Filmographie : Une centaine de films, dont : Mandala, Mère porteuse, Le Chant de la fidèle Chunhyang,
Mon avis : Un film sur la création artistique, sur l’exemple imaginé de la vie de ce peintre qui fut célèbre, mais dont on ne sait que peu de choses. Le réalisateur pioche dans sa propre démarche et sensibilité pour nous fournir un film assez fort sur la vie d’un peintre avec ses élans et toutes ses contradictions. A travers la vision du peintre, de son environnement on devine la maturation artistique en marche. Beaucoup de femmes ! mais pas vulgaire.
Note : 9/10 Rédigé par : Jacquie

lundi 3 novembre 2008

Le Crime est notre affaire



Réalisateur : Pascal Thomas né en 1945 en France. Acteur, scénariste, réalisateur et producteur.
Pays : France Année : 2008
Acteurs : André Dussolier, Catherine Frot, Annie Cordy, Chiara Maestroianni, Claude Rich, Hypolite Girardot, Melvil Poupaud
Dir. Photo
: Renan Pollès

Résumé
: D’après le roman d’Agatha Christie "Partners in crime". Bélisaire et Prudence sont deux anciens des services secrets, ils passent leur retraite bien trop tranquillement pour Prudence. A la faveur de ce que raconte la délicieuse tante Babette une opportunité d’un éventuel crime non loin de chez eux aiguillonne l’ardeur de Prudence…..
Filmographie : Les zozos, Confidence pour confidence, Mercredi folle journée, Les Maris, les femmes, les amants, La Dilettante, Mon petit doigt m'a dit... L’heure zéro
Avis : Un régal de film qui fera fondre toute mauvaise humeur. A voir par toute la famille. Humour léger et un couple d’infatigables comiques avec de très belles photos de personnages et maisons.
Note : 9/10 Rédigé par Jacquie