Isle of Dogs
Ours d'argent du meilleur réalisateur
Réalisateur : Wes Anderson ; réalisateur américain autodidacte. Etudes de philosophie. Son style original dans un cinéma indépendant trouve son public avec le Grand prix du jury à Berlin pour son Grand Budapest Hôtel. Plus récemment Ours d’argent du meilleur réalisateur pour L’île aux chiens.
Pays : US Année : 2018
Animation : voix en français et anglais
Résumé : Comédie dramatique évoquant un futur catastrophique dans un pays qui a laissé le pouvoir à un seul homme. On peut évidemment pense à Hitler ou d’autres dictateurs sud-américains. A la faveur d’un hypothétique virus canin, le dictateur exile tous les chiens du pays dans une île qui sert de dépôt d’ordures isolé par la mer. Les animaux doivent se nourrir des ordures, certains arrivés dans leur cage meurent de faim. Comme toujours dans les contes c’est des plus petits que naitra la délivrance du fléau national ! Un jeune garçon handicapé va fuir vers cette île pour chercher son chien. Tous les chiens avec des caractères variés vont l’aider.
Ce qu’il y a d’amusant c’est la distribution des voix, que des acteurs célèbres en anglais et aussi en français. Je l’avais vu dans l’avion et anglais et donc je ne l’avais pas remarqué (occupée à comprendre les paroles).
Caroline Besse a publié dans Télérama il y a quelques semaines, une super galerie de portraits des premiers rôles chiens C’est cette publication qui me fait souvenir de ce film vu dans l’avion en direction vacances en New Zealand, deux semaines là-bas m’avaient fait oublier…
« Avec ce film politique au casting majoritairement cabot, Wes Anderson tend un miroir aux crocs aiguisés à notre intolérance et notre inhumanité. Quelques chiens vont dépasser leur inimitié et s’unir pour aider le jeune Atari, neveu orphelin du dirigeant autocrate de la ville dystopique de Megasaki, à retrouver Spots, son animal de compagnie adoré, mis lui aussi en quarantaine. » Caroline Besse Exemple : « Duke Voix Mathieu Amalric en VF, Jeff Goldblum en VO. Allure Pelage gris et blanc, bien que pouilleux, yeux clairs : il a l’allure d’un husky, le roi des neiges. Caractère Duke a une fâcheuse tendance à colporter des rumeurs anxiogènes : « Vous connaissez la rumeur au sujet de mon frère, issu d’une autre portée ? Suicidé. Il s’est pendu avec sa propre laisse. » Ou encore : « Vous connaissez la rumeur sur ces chiens aborigènes ? Ils sont cannibales ! » Mais il a un bon esprit de meute. Ascendants Un croisement entre Croc-Blanc et Benji la malice. » Cinq molosses sur Télérama.
Filmographie : La Famille Tenenbaum ; La Vie aquatique; À bord du Darjeeling Limited; Fantastic Mr. Fox ; Moonrise Kingdom ; The Grand Budapest Hotel ; L'Île aux chiens
Duke sur Télérama |
Ours d'argent du meilleur réalisateur
Réalisateur : Wes Anderson ; réalisateur américain autodidacte. Etudes de philosophie. Son style original dans un cinéma indépendant trouve son public avec le Grand prix du jury à Berlin pour son Grand Budapest Hôtel. Plus récemment Ours d’argent du meilleur réalisateur pour L’île aux chiens.
Pays : US Année : 2018
Animation : voix en français et anglais
Résumé : Comédie dramatique évoquant un futur catastrophique dans un pays qui a laissé le pouvoir à un seul homme. On peut évidemment pense à Hitler ou d’autres dictateurs sud-américains. A la faveur d’un hypothétique virus canin, le dictateur exile tous les chiens du pays dans une île qui sert de dépôt d’ordures isolé par la mer. Les animaux doivent se nourrir des ordures, certains arrivés dans leur cage meurent de faim. Comme toujours dans les contes c’est des plus petits que naitra la délivrance du fléau national ! Un jeune garçon handicapé va fuir vers cette île pour chercher son chien. Tous les chiens avec des caractères variés vont l’aider.
Ce qu’il y a d’amusant c’est la distribution des voix, que des acteurs célèbres en anglais et aussi en français. Je l’avais vu dans l’avion et anglais et donc je ne l’avais pas remarqué (occupée à comprendre les paroles).
Caroline Besse a publié dans Télérama il y a quelques semaines, une super galerie de portraits des premiers rôles chiens C’est cette publication qui me fait souvenir de ce film vu dans l’avion en direction vacances en New Zealand, deux semaines là-bas m’avaient fait oublier…
« Avec ce film politique au casting majoritairement cabot, Wes Anderson tend un miroir aux crocs aiguisés à notre intolérance et notre inhumanité. Quelques chiens vont dépasser leur inimitié et s’unir pour aider le jeune Atari, neveu orphelin du dirigeant autocrate de la ville dystopique de Megasaki, à retrouver Spots, son animal de compagnie adoré, mis lui aussi en quarantaine. » Caroline Besse Exemple : « Duke Voix Mathieu Amalric en VF, Jeff Goldblum en VO. Allure Pelage gris et blanc, bien que pouilleux, yeux clairs : il a l’allure d’un husky, le roi des neiges. Caractère Duke a une fâcheuse tendance à colporter des rumeurs anxiogènes : « Vous connaissez la rumeur au sujet de mon frère, issu d’une autre portée ? Suicidé. Il s’est pendu avec sa propre laisse. » Ou encore : « Vous connaissez la rumeur sur ces chiens aborigènes ? Ils sont cannibales ! » Mais il a un bon esprit de meute. Ascendants Un croisement entre Croc-Blanc et Benji la malice. » Cinq molosses sur Télérama.
Filmographie : La Famille Tenenbaum ; La Vie aquatique; À bord du Darjeeling Limited; Fantastic Mr. Fox ; Moonrise Kingdom ; The Grand Budapest Hotel ; L'Île aux chiens
Avis : Film assez dense par les évocations de l’histoire ou de l’actualité, mais très touchant grâce aux caractères des animaux et à la bonté qu’ils suggèrent.
Note : 10/10 Rédigé par Jacquie
Note : 10/10 Rédigé par Jacquie
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