Réalisateur Björn Runge : réalisateur et auteur suédois né en 1961. Quelques films, des courts métrages et de la TV. Wikipedia
Pays : Suède UK USA Année : 2017
Acteurs : Glenn Close (l’épouse) ; Jonathan Pryce (Castelman, l’écrivain récompensé) ; Max Irons (David Castleman) ; Christian Slater (Nathaniel Bone) ; Elizabeth McGovern (Elaine Mozell)
Dir. Photo : Ulf Brantås
Résumé : Scénario de Jane Anderson d’après le roman de Meg Wolitzer. Un couple d’écrivains va chercher le Prix Nobel de littérature attribué au mari pour son œuvre. A cette occasion on reprend, en flashback, la vie de chacun à partir de leur rencontre à l’université, toute une vie de couple est passée depuis. Lui est déjà professeur et elle étudiante, c’est à ce moment qu’ils tombent amoureux. A la nomination au Nobel ils sont vieillissants, lui est toujours dynamique, prêt à la bagatelle, elle est plus rangée et intériorisée, fatiguée. Un journaliste indiscret et un peu amoureux de Joan la pousse à avouer que c’est elle qui écrit. Elle dément fermement. Cependant il tient le même discours à leur fils qui est ébranlé. Pendant ce temps lui continue à papillonner. Pour Joan l’addition est salée, à bout elle dit à son mari qu’elle va divorcer…
Dans le milieu littéraire, comme dans d’autres, il vaut mieux qu’un travail soit attribué à un homme qu’à une femme, hélas encore. Mais le nom des auteurs est parfois mystérieux… voir George Sand, Emile Ajar, Yasmina Khadra etc. Elaine le dit : une femme écrivain n’a aucune chance de percer.
Le film est mené par le personnage de Joan que Glenn Close interprète avec force, bien accompagné par le jeu de Jonhatan Pryce. Un couple qui est devenu conventionnel, l’amour s’est usé et la femme qui épaulait si bien son charmeur de mari, est désenchantée et lasse de travailler dans l’ombre pour un homme qu’elle protège comme un enfant. C’est l’heure de la retraite et des choix personnels... Pour une fois les personnages sont sur le soir de leur vie… ça change un peu !
Filmographie : Mun mot mun ; The Wife
Pays : Suède UK USA Année : 2017
Acteurs : Glenn Close (l’épouse) ; Jonathan Pryce (Castelman, l’écrivain récompensé) ; Max Irons (David Castleman) ; Christian Slater (Nathaniel Bone) ; Elizabeth McGovern (Elaine Mozell)
Dir. Photo : Ulf Brantås
Résumé : Scénario de Jane Anderson d’après le roman de Meg Wolitzer. Un couple d’écrivains va chercher le Prix Nobel de littérature attribué au mari pour son œuvre. A cette occasion on reprend, en flashback, la vie de chacun à partir de leur rencontre à l’université, toute une vie de couple est passée depuis. Lui est déjà professeur et elle étudiante, c’est à ce moment qu’ils tombent amoureux. A la nomination au Nobel ils sont vieillissants, lui est toujours dynamique, prêt à la bagatelle, elle est plus rangée et intériorisée, fatiguée. Un journaliste indiscret et un peu amoureux de Joan la pousse à avouer que c’est elle qui écrit. Elle dément fermement. Cependant il tient le même discours à leur fils qui est ébranlé. Pendant ce temps lui continue à papillonner. Pour Joan l’addition est salée, à bout elle dit à son mari qu’elle va divorcer…
Dans le milieu littéraire, comme dans d’autres, il vaut mieux qu’un travail soit attribué à un homme qu’à une femme, hélas encore. Mais le nom des auteurs est parfois mystérieux… voir George Sand, Emile Ajar, Yasmina Khadra etc. Elaine le dit : une femme écrivain n’a aucune chance de percer.
Le film est mené par le personnage de Joan que Glenn Close interprète avec force, bien accompagné par le jeu de Jonhatan Pryce. Un couple qui est devenu conventionnel, l’amour s’est usé et la femme qui épaulait si bien son charmeur de mari, est désenchantée et lasse de travailler dans l’ombre pour un homme qu’elle protège comme un enfant. C’est l’heure de la retraite et des choix personnels... Pour une fois les personnages sont sur le soir de leur vie… ça change un peu !
Filmographie : Mun mot mun ; The Wife
Avis : Film intéressant sur le sujet des « nègres »ou « ghostwriters » en même temps que la vie d’un couple confronté au succès. Je ne pense pas que ce film ait été diffusé en France, il existe en DVD en anglais.Je l'ai vu dans l'avion.
Note : 7/10 Rédigé par Jacquie
Note : 7/10 Rédigé par Jacquie
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