Ascanio Celestini dans Pecora Nera |
En compétition au Festival de Venise 2010.
Réalisateur : Ascanio Celestini ; Acteur Italien, qui a écrit une pièce de théâtre et un roman sur le quotidien des asiles psychiatriques.
Pays : Italie Année : 2010
Acteurs : Ascanio Celestini (Nicola/Ascanio) ; Giorgio Tirabassi (Nicola le fou au pull rouge) ; Maya Sansa (Marinella)
Dir. Photo : Daniele Ciprì
Résumé : le parcours d’un fou : Son enfance délaissée est racontée avec beaucoup d’humour il est heureusement chéri par une grand-mère, simple mais originale ! Puis on le retrouve travaillant à l’asile où il entre enfant conduit par sa grand mère. La grand-mère est une femme pieuse qui distribue des oeufs frais pour les uns et les autres. De l’enfance on nous montre des instants à l’école ou l’enfant est en difficulté, puis le focus est mis sur « les chefs d’œuvre » de son imagination débordante. A l’Asile on voit notre héro qui y travaille avec beaucoup de sérieux.
Le film est raconté en voix off par Ascanio lui-même qui commente donc les images de la vie de tous les jours en y mêlant des comptines ou des allégations rassurantes. Une des originalités de ce scénario est de montrer la vie double de ce malade : avec sa blouse, presque raisonnable et le personnage de Nicola au polo rouge toujours sur ses basques complètement fou. Le ton général est humoristique en particulier avec l’histoire de l’asile aux 100 portes… qui revient comme une ritournelle, et martèle le propre de l’enfermement pour l’individu « dérangé » qui peut y trouver refuge. De bons moments sont trouvés dans les dialogues des deux compères avec leurs logiques toutes personnelles.
Ascanio Celestini a écrit sur ce thème une pièce de théâtre qu’il a joué et un roman.
Avis : Film très plaisant, œuvre esthétique, mais parfois déroutant par les changements de ton et de temps, un peu poussifs parfois. On y trouve énormément de tendresse pour les malades et les sœurs qui soignent les malades. Humour sur la vie de l’enfermement. Au-delà de la vision du film il y aurait du grain à moudre sur l’enfermement et ses « fous » qui ont souvent des paroles plus sensées que les nôtres… je ne suis pas spécialiste.
Note : 7/10 rédigé par Jacquie
Pays : Italie Année : 2010
Acteurs : Ascanio Celestini (Nicola/Ascanio) ; Giorgio Tirabassi (Nicola le fou au pull rouge) ; Maya Sansa (Marinella)
Dir. Photo : Daniele Ciprì
Résumé : le parcours d’un fou : Son enfance délaissée est racontée avec beaucoup d’humour il est heureusement chéri par une grand-mère, simple mais originale ! Puis on le retrouve travaillant à l’asile où il entre enfant conduit par sa grand mère. La grand-mère est une femme pieuse qui distribue des oeufs frais pour les uns et les autres. De l’enfance on nous montre des instants à l’école ou l’enfant est en difficulté, puis le focus est mis sur « les chefs d’œuvre » de son imagination débordante. A l’Asile on voit notre héro qui y travaille avec beaucoup de sérieux.
Le film est raconté en voix off par Ascanio lui-même qui commente donc les images de la vie de tous les jours en y mêlant des comptines ou des allégations rassurantes. Une des originalités de ce scénario est de montrer la vie double de ce malade : avec sa blouse, presque raisonnable et le personnage de Nicola au polo rouge toujours sur ses basques complètement fou. Le ton général est humoristique en particulier avec l’histoire de l’asile aux 100 portes… qui revient comme une ritournelle, et martèle le propre de l’enfermement pour l’individu « dérangé » qui peut y trouver refuge. De bons moments sont trouvés dans les dialogues des deux compères avec leurs logiques toutes personnelles.
Ascanio Celestini a écrit sur ce thème une pièce de théâtre qu’il a joué et un roman.
Avis : Film très plaisant, œuvre esthétique, mais parfois déroutant par les changements de ton et de temps, un peu poussifs parfois. On y trouve énormément de tendresse pour les malades et les sœurs qui soignent les malades. Humour sur la vie de l’enfermement. Au-delà de la vision du film il y aurait du grain à moudre sur l’enfermement et ses « fous » qui ont souvent des paroles plus sensées que les nôtres… je ne suis pas spécialiste.
Note : 7/10 rédigé par Jacquie
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