Prix mise en scène Un certain regard, Cannes
Prix du Jury et du Public festival de Deauville
la famille lors de la cérémonie à l'église... |
Prix du Jury et du Public festival de Deauville
Réalisateur : Matt Ross : acteur, scénariste, réalisateur américain né en 1970. Après avoir travaillé comme acteur, il fait de la TV. Captain Fantastic est l’un de ses tout premiers films.
Pays : USA Année :2016
Acteurs : Viggo Mortensen (Ben) ; Frank Langella (le père d’Angela) ; Steve Zahn (Dave le mari de Harper) ; Kathryn Hahn (Harper La soeur de Ben) ; George MacKay (Bodevan) ;
Dir. Photo : Stéphane Fontaine
Résumé : Une famille (nombreuse) a choisi de vivre la « vie sauvage » et d’éduquer eux même leur enfants. On nous montre des enfants et des ados dans la forêt, apprenant à chasser et à dépecer, découper, cuisiner le gibier; on les dirait sur une île déserte… Ben le père nous apparait à la longue comme un chef, un gourou qui a toujours raison. Les enfants acceptent tout venant de lui, c’est presque malsain si ce n’était pas mal vu. La mère est absente et les nouvelles de sa santé seront mauvaises, entrainant un changement de programme pour la famille qui devra se rendre « à la ville ».
On ne cesse de s’étonner, entre des citations de Noam Chomsky, et les récitations du code civil et un entrainement martial dont on se demande contre qui ils pensent se battre. J’aime beaucoup la pensée de Chomsky, mais ici elle est absurde comme toute l’éducation donnée aux enfants en dehors du respect de l’évolution de leur maturité. Le film pourrait être drôle s’il n’était pas outré dans l’intellectualisme et le côté hippie, et un moins exagéré dans ce qu’il montre. On ne comprend pas ce que le réalisateur veut dire, on est dans la dérision de tout côté.
En fait le film montre le danger de changer les normes et de vivre à « sa mode » dans une société standardisée qui n’est pas plus enviable. Les enfants ne sont pas faits pour grandir en vase clos même si celui-ci est beau.
Pays : USA Année :2016
Acteurs : Viggo Mortensen (Ben) ; Frank Langella (le père d’Angela) ; Steve Zahn (Dave le mari de Harper) ; Kathryn Hahn (Harper La soeur de Ben) ; George MacKay (Bodevan) ;
Dir. Photo : Stéphane Fontaine
Résumé : Une famille (nombreuse) a choisi de vivre la « vie sauvage » et d’éduquer eux même leur enfants. On nous montre des enfants et des ados dans la forêt, apprenant à chasser et à dépecer, découper, cuisiner le gibier; on les dirait sur une île déserte… Ben le père nous apparait à la longue comme un chef, un gourou qui a toujours raison. Les enfants acceptent tout venant de lui, c’est presque malsain si ce n’était pas mal vu. La mère est absente et les nouvelles de sa santé seront mauvaises, entrainant un changement de programme pour la famille qui devra se rendre « à la ville ».
On ne cesse de s’étonner, entre des citations de Noam Chomsky, et les récitations du code civil et un entrainement martial dont on se demande contre qui ils pensent se battre. J’aime beaucoup la pensée de Chomsky, mais ici elle est absurde comme toute l’éducation donnée aux enfants en dehors du respect de l’évolution de leur maturité. Le film pourrait être drôle s’il n’était pas outré dans l’intellectualisme et le côté hippie, et un moins exagéré dans ce qu’il montre. On ne comprend pas ce que le réalisateur veut dire, on est dans la dérision de tout côté.
En fait le film montre le danger de changer les normes et de vivre à « sa mode » dans une société standardisée qui n’est pas plus enviable. Les enfants ne sont pas faits pour grandir en vase clos même si celui-ci est beau.
Avis : Déçue de ce film qu’on m’avait tant vanté.
Note : 6/10 Rédigé par Jacquie
Note : 6/10 Rédigé par Jacquie
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