Prix du Jury festival de Cannes 1991
Réalisateur : Maroun Bagdadi né 1950 et mort le 10 décembre 1993 à Beyrouth, il était un réalisateur et un scénariste libanais.
Pays : France/Italie/Belgique Année : 1991
Acteurs : Rafic Ali Ahmad (Walid) ; Nidal Al-Askhar (La mère de Khaled) ; Hassan Farhat (Ahmed) ; Hippolyte Girardot (Patrick Perrault); Habib Hammoud (Philippe)
Dir. Photo : Patrick Blossier
Résumé : Patrick Perrault, est un journaliste freelance qui travaille au Liban, en guerre depuis des années. Il aime beaucoup le Liban où il séjourne souvent et est à l’aise dans son métier de photographe de guerre. Cependant sans que rien ne le laisse prévoir il est kidnappé en pleine rue comme pour bien d’autres vrais journalistes dont Maroun Bagdadi fait ici un portrait de synthèse. Nous assistons non seulement au récit de sa réclusion et de ses péripéties, mais aussi à des images qui nous racontent les misères de ce peuple constamment en guerre, sous les bombes, aux prises avec la survie quotidienne. Le scénario laisse la place aux relations pas toujours agréables entre les ravisseurs et leur otage mais ne laisse pas de place à la haine, au contraire. Le film commence par un drame où la mère d’un jeune qui a été tué, empêche les combattants d’exécuter en représailles des opposants. Elle dit de les renvoyer dans leurs familles, car la vengeance entraine la vengeance, leur mort ne lui rendra pas son fils.
Filmographie : Beyrouth ô Beyrouth ; petites guerres ; L'homme voilé ; Hors la vie ; La fille de l'air
Pays : France/Italie/Belgique Année : 1991
Acteurs : Rafic Ali Ahmad (Walid) ; Nidal Al-Askhar (La mère de Khaled) ; Hassan Farhat (Ahmed) ; Hippolyte Girardot (Patrick Perrault); Habib Hammoud (Philippe)
Dir. Photo : Patrick Blossier
Résumé : Patrick Perrault, est un journaliste freelance qui travaille au Liban, en guerre depuis des années. Il aime beaucoup le Liban où il séjourne souvent et est à l’aise dans son métier de photographe de guerre. Cependant sans que rien ne le laisse prévoir il est kidnappé en pleine rue comme pour bien d’autres vrais journalistes dont Maroun Bagdadi fait ici un portrait de synthèse. Nous assistons non seulement au récit de sa réclusion et de ses péripéties, mais aussi à des images qui nous racontent les misères de ce peuple constamment en guerre, sous les bombes, aux prises avec la survie quotidienne. Le scénario laisse la place aux relations pas toujours agréables entre les ravisseurs et leur otage mais ne laisse pas de place à la haine, au contraire. Le film commence par un drame où la mère d’un jeune qui a été tué, empêche les combattants d’exécuter en représailles des opposants. Elle dit de les renvoyer dans leurs familles, car la vengeance entraine la vengeance, leur mort ne lui rendra pas son fils.
Filmographie : Beyrouth ô Beyrouth ; petites guerres ; L'homme voilé ; Hors la vie ; La fille de l'air
Avis : Film assez dur mais d’après les spécialistes réaliste sur les conditions subies par les otages un peu partout. Il est bon de s’en rendre compte nous qui regardons les infos dans un fauteuil. ; Hippolyte Girardot est très crédible c’est évidemment sur lui et le dir photo que repose le film.
Note : 8/10 rédigé par Jacquie
Note : 8/10 rédigé par Jacquie
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