Comme promis l'autre volet du coffret que je n'osais pas acheter... celui ci est encore très érotique mais pas aussi direct! et qu'elle beauté ce serait dommage de s'en passer par souci du "qu'en dira t on?".
Prix de la meilleure mise en scène Cannes 1978
Réalisateur : Nagisa Oshima Né en 1932 à Tokyo est assistant réalisateur dès 1954. Vers les années 60 il fait partie avec Kiju Yoshida de la nouvelle vague qui critique les cinéastes précédents en se réclamant de Godard et de la nouvelle vague française. Plus tard triomphe mondial avec L’empire des sens.
Pays : Japon Année : 1978
Acteurs : Tatsuya Fuji (Toyoji), Takahiro Tamura (Gisaburo), Kazuko Yoshiyuri (Seki)
Dir. Photo :Yoshio Miyajima
Résumé : d’après un récit d’Itoko Nakamura. L’histoire relatée dans ce film est celle de deux amants Seki et Toyoji qui vont jusqu’à supprimer le mari gênant (Gisaburo) et continuent sur un glissement vers le conte fantastique où le fantôme du défunt vient les hanter, pendant ce temps l’enquête commence et les faits inexorables vont se découvrir petit à petit. Curieusement dans cette histoire passionnelle d’adultère, l’humour n’est pas absent. La présentation des personnages est très belle, le mari est conducteur de pousse-pousse et le réalisateur nous livre au passage des images symboliques de la future tragédie. Le film est superbe par ses plans, cadrage, éclairage, symbolisme des petites choses et c’est un régal d’un bout à l’autre. Cependant si les allusions ou symboles sont puissants Oshima laisse le spectateur interpréter lui-même ces balises, de même qu’il y a peu de dialogue.
« Si les deux amants vivent dans la peur, c’est qu’ils se sentent constamment menacés par la nature »… « les amants vous paraissent jetés en enfer par leur pulsion sexuelle, mais, selon moi, c’est le grondement de la terre, le bruissement du vent, le murmure des arbres, le chant des insectes, bref, c’est la nature entière qui guide le couple dans sa descente aux enfers » Oshima (entretien 1978).
Coffret DVD chez Arte. Analyse : et de Virgile Dumez
Filmographie : La ville de l’amour et de l’espoir, Contes cruels de la jeunesse, Nuits et brouillard du Japon, L’empire des sens, Furyo.
Pays : Japon Année : 1978
Acteurs : Tatsuya Fuji (Toyoji), Takahiro Tamura (Gisaburo), Kazuko Yoshiyuri (Seki)
Dir. Photo :Yoshio Miyajima
Résumé : d’après un récit d’Itoko Nakamura. L’histoire relatée dans ce film est celle de deux amants Seki et Toyoji qui vont jusqu’à supprimer le mari gênant (Gisaburo) et continuent sur un glissement vers le conte fantastique où le fantôme du défunt vient les hanter, pendant ce temps l’enquête commence et les faits inexorables vont se découvrir petit à petit. Curieusement dans cette histoire passionnelle d’adultère, l’humour n’est pas absent. La présentation des personnages est très belle, le mari est conducteur de pousse-pousse et le réalisateur nous livre au passage des images symboliques de la future tragédie. Le film est superbe par ses plans, cadrage, éclairage, symbolisme des petites choses et c’est un régal d’un bout à l’autre. Cependant si les allusions ou symboles sont puissants Oshima laisse le spectateur interpréter lui-même ces balises, de même qu’il y a peu de dialogue.
« Si les deux amants vivent dans la peur, c’est qu’ils se sentent constamment menacés par la nature »… « les amants vous paraissent jetés en enfer par leur pulsion sexuelle, mais, selon moi, c’est le grondement de la terre, le bruissement du vent, le murmure des arbres, le chant des insectes, bref, c’est la nature entière qui guide le couple dans sa descente aux enfers » Oshima (entretien 1978).
Coffret DVD chez Arte. Analyse : et de Virgile Dumez
Filmographie : La ville de l’amour et de l’espoir, Contes cruels de la jeunesse, Nuits et brouillard du Japon, L’empire des sens, Furyo.
Avis : Film érotique, de toute beauté qui en fait un must de toute collection de films asiatiques.
Note : 10/10 Rédigé par Jacquie
Note : 10/10 Rédigé par Jacquie
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