Réalisateur : Bong Joon-ho, réalisateur, scénariste Corréen né en 1969. études en sociologie à l'université puis Korean Academy of Film Arts. Il démarre avec une comédie noire sur la société Coréenne. Puis adaptation de la BD le Transperceneige. En 2019 Cannes le couronne à l’unanimité.
Pays: Corée du sud Année : 2019
Acteurs : Les pauvres : Song Kang-ho (Ki-taek, le père) Jang Hye-jin (Chung-sook, la mère) Choi Woo-sik (Ki-woo, le fils) Park So-dam (Ki-jung, la fille);
Les riches : Lee Sun-kyun (Dong-ik, le père) Cho Yeo-jeong (Yeon-gyo, la mère) Jung Ziso (Da-hye, la fille) Dir. Photo : Hong Kyeong-pyo
Résumé : Deux familles vont interagir dans ce film : La famille Kim, pauvre à la recherche de moyens de subsistance pour avoir au moins le minimum, et la famille Park, riches et cultivés avec les soucis des nantis. L’histoire démarre avec la description du mode de vie débrouillard des Kim (les pauvres) avec beaucoup d’humour. L’élément de liaison est un ami du fils qui cherche un remplaçant pour ses cours particuliers à une riche jeune fille, ce qui fait l’introduction dans la villa des Park. Très belle villa moderne toute en verrières et vastes plans, ou un peu vide. Tout se passe admirablement bien et on peut rire des stratagèmes de la famille Kim pour travailler. Je ne dis pas la suite, mais on la sent vite arriver.
« Bong Joon-ho réinvente le classique "film de maison", avec ses relations vénéneuses entre servants et employeurs, et fabrique un thriller au rythme fou, sans rien perdre de son regard attentif sur la société coréenne. Un coup de génie. » Julien Dugois
« Car, en effet, un peu à la manière d’Hitchcock ou de Chabrol, à qui le cinéaste sud-coréen a eu le bon goût de rendre hommage en recevant son prix, Bong Joon-ho réussit avec Parasite une sorte de tour de force : un film totalement limpide et, en même temps, complexe et mystérieux. » Thierry Jousse
Filmographie Memories of Murder; The Host; Mother; Snowpiercer, le Transperceneige; Okja; Parasite;
Avis : Un film “gouteux” plein de découvertes d’humour et de suspenses. Fameux dirait Gaston.
Note : 10/10
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