Réalisateur : Danièle Thompson : scénariste, dialoguiste, réalisatrice et écrivain française, née en 1942. Ecrit les scénarios de nombreux films dont certains très connus tels que La grande vadrouille, Cousin Cousine, La reine Margot ou films de son père Gérard Oury.
Pays : France Année : 2006
Acteurs : Cécile de France (Jessica) ; Valérie Lemercier (Catherine Versen) ; Albert Dupontel (Jean-François Lefort, le pianiste) ; Laura Morante (Valentine, femme du pianiste) ; Claude Brasseur (Jacques Grumberg) ; Christopher Thompson (Frédéric Grumberg, le fils) ; Dani (Claudie, la concierge) ; Sydney Pollack (le réalisateur américain) ; Suzanne Flon (la grand-mère). Dir. Photo : Jean-Marc Fabre
Résumé : Comédie mettant en évidence des riches et des bobos. On part d’une vieille dame dans une maison de retraite (Suzanne Flon qui décédera peu après) avec sa petite fille (Cécile de France) et de la phrase : « Je n’avais pas les moyens de vivre dans le luxe, alors j’ai décidé d’y travailler." Puis on retrouve Jessica partie à Paris pour faire comme sa grand-mère, qui prend un job de serveuse au Bar du Théâtre. Le film se passant rue Montaigne, la conjonction d’une salle de ventes de Drouot, du théâtre des Champs Elysées, et de la salle de concert, permet de faire se croiser plusieurs destins artistiques. Le sujet c’est le changement de vie à 180°, Jessica la petite provinciale, Jean François le pianiste, Jacques Grumberg le collectionneur qui vend tout, Son fils Frédéric qui se sépare de sa femme, Catherine Versen actrice de comédies, la concierge qui prend sa retraite. Le spectateur est transporté d’une relation à une autre sans arrêt, c’est donc un brin fatigant mais empêche de percevoir le ron-ron des situations clichés. D’ailleurs les découpages sont « piquants » et ajoutent la surprise au méli mélo. An niveau de l’image un très bon parti est tiré du quartier, de l’architecture des hôtels de Luxe, de celui du théâtre et de ses ors et ferronneries, des éclairages doux des espaces du théâtre.
On raconte que le pianiste François-René Duchâble, conseiller technique muical, est le modèle du personnage de Jean François. C’est d’ailleurs lui qu’on entend au piano, ce qui fait un charme de plus du film. Du côté comédie on peut se régaler des conversations sur Sartre et Beauvoir version de la comédienne jouée par Valérie Lemercier, ou des faux semblants du milieu artistique.
La critique n’a pas vraiment aimé le film…. Inrocks mais le public s’y amuse, et il faut bien rire pour survivre. Pour L’œil sur l’écran réaction mitigée : « Fauteuils d’orchestre est un film léger qui bénéficie d’une belle distribution et qui se laisse regarder sans déplaisir. La mise en place est même assez réussie, bien portée par une Cécile de France qui parvient à insuffler une bonne dose de candeur dans cette galerie de portraits hauts en couleur. » suite
Filmographie : La Bûche ; Décalage horaire ; Fauteuils d'orchestre ; Le Code a changé ; Des gens qui s'embrassent.
Pays : France Année : 2006
Acteurs : Cécile de France (Jessica) ; Valérie Lemercier (Catherine Versen) ; Albert Dupontel (Jean-François Lefort, le pianiste) ; Laura Morante (Valentine, femme du pianiste) ; Claude Brasseur (Jacques Grumberg) ; Christopher Thompson (Frédéric Grumberg, le fils) ; Dani (Claudie, la concierge) ; Sydney Pollack (le réalisateur américain) ; Suzanne Flon (la grand-mère). Dir. Photo : Jean-Marc Fabre
Résumé : Comédie mettant en évidence des riches et des bobos. On part d’une vieille dame dans une maison de retraite (Suzanne Flon qui décédera peu après) avec sa petite fille (Cécile de France) et de la phrase : « Je n’avais pas les moyens de vivre dans le luxe, alors j’ai décidé d’y travailler." Puis on retrouve Jessica partie à Paris pour faire comme sa grand-mère, qui prend un job de serveuse au Bar du Théâtre. Le film se passant rue Montaigne, la conjonction d’une salle de ventes de Drouot, du théâtre des Champs Elysées, et de la salle de concert, permet de faire se croiser plusieurs destins artistiques. Le sujet c’est le changement de vie à 180°, Jessica la petite provinciale, Jean François le pianiste, Jacques Grumberg le collectionneur qui vend tout, Son fils Frédéric qui se sépare de sa femme, Catherine Versen actrice de comédies, la concierge qui prend sa retraite. Le spectateur est transporté d’une relation à une autre sans arrêt, c’est donc un brin fatigant mais empêche de percevoir le ron-ron des situations clichés. D’ailleurs les découpages sont « piquants » et ajoutent la surprise au méli mélo. An niveau de l’image un très bon parti est tiré du quartier, de l’architecture des hôtels de Luxe, de celui du théâtre et de ses ors et ferronneries, des éclairages doux des espaces du théâtre.
On raconte que le pianiste François-René Duchâble, conseiller technique muical, est le modèle du personnage de Jean François. C’est d’ailleurs lui qu’on entend au piano, ce qui fait un charme de plus du film. Du côté comédie on peut se régaler des conversations sur Sartre et Beauvoir version de la comédienne jouée par Valérie Lemercier, ou des faux semblants du milieu artistique.
La critique n’a pas vraiment aimé le film…. Inrocks mais le public s’y amuse, et il faut bien rire pour survivre. Pour L’œil sur l’écran réaction mitigée : « Fauteuils d’orchestre est un film léger qui bénéficie d’une belle distribution et qui se laisse regarder sans déplaisir. La mise en place est même assez réussie, bien portée par une Cécile de France qui parvient à insuffler une bonne dose de candeur dans cette galerie de portraits hauts en couleur. » suite
Filmographie : La Bûche ; Décalage horaire ; Fauteuils d'orchestre ; Le Code a changé ; Des gens qui s'embrassent.
Avis : Une comédie sur les milieux des arts à Paris, en particulier du cinéma, accompagnée de superbe musique, classique et variétés qui se croisent. Une atmosphère chaleureuse réjouit le cœur sinon l’intellect !
Note : 6/10 Rédigé par Jacquie
Note : 6/10 Rédigé par Jacquie
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