vendredi 23 janvier 2009

There will be blood



Oscar meilleur acteur, et meilleur photo.

Réalisateur : Paul Thomas Anderson Américain né en 1970. Il débute comme assistant à la TV puis passe aux films et est consacré par There will be blood, 31 prix lui ont été décernés aux Etats-Unis. Voir une biographie détaillée sur :
http://fr.wikipedia.org/wiki/Paul_Thomas_Anderson
Pays : US Année : 2007
Acteurs : Daniel Day-Lewis, (Daniel Plainview) Paul Dano (Paul Sunday / Eli Sunday) Kevin J. O'Connor (Henry), Dillon Freasier
Dir. Photo
: Robert Elswit Musique : Jonny Greenwood
Résumé : Un western peu commun : A la conquête du pétrole !... un aventurier c’est lancé corps âme (mais qu’a-t-il fait de cette dernière ? Daniel Plainview est un homme seul qui élève son fils tout en prospectant avec l’énergie du chercheur d’or les gisement de pétrole, il est couronné de succès le pétrole jailli de son forage artisanal. Le succès appelant le succès un jeune berger vient lui vendre des informations sur un gisement peu profond. Avec son fils ils vont acheter la terre pour le prix d’un terrain de chasse. L’homme a qui il a acheté a un fils, Elie, très pratiquant (Eglise de la troisième résurrection) et se destine à être pasteur de leur communauté. Elie sera l’opposé de Daniel tout au long de l’histoire où chacun développera ses faiblesses et ses forces. L’aventurier sans foi ni loi et le mystique. Scénario écrit en inspiration d’un roman et de documentation sur les débuts de la découverte du pétrole. Un beau travail du Dir Photo, Robert Elswit, en particulier pour l’introduction du film qui est sans paroles…
Filmographie : Boogie Nights. Magnolia ; Punch-Drunk Love
Avis : Malgré quelques longueurs, le film est puissant dans ses images et la peinture de la vie de cet homme de pétrole qui n’est animé que par le gout de la réussite et le mépris des gens. Le personnage du pasteur dans ses hésitations ou ses trouvailles pour animer sa communauté est aussi passionnant. Les deux acteurs sont excellents.
Une bonne musique soit classique le concerto pour violon de Brahms soit abstraite :les stridences et "Fratres" d’Arvo Pärt.
Note : 8/10 rédigé par Jacquie

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